l'abbé MOYON, vicaire, s'intéresse à la musique instrumentale et initie des jeunes à cet art pour agrémenter et embellir les cérémonies religieuses, pratiquer l'harmonium mais aussi les instruments à vents.
Joseph Olivier de la Croix Morceau, qui s'est perfectionné dans la pratique du cornet à piston, forme une fanfare avec Jeanne d'Arc comme patronne.
La société prend son indépendance et devient la Fanfare de la Ste-Cécile. La pratique du bugle, du cornet à piston, tuba, trombone, le tout accompagné d'une caisse claire et une grosse caisse est transmise aux jeunes par les anciens qui se font professeurs de musique bénévolement.
Créé par les frères Ange et Arsène MAUGENDRE. Les répétitions avaient lieu au Café Patron, qui fut rebaptisé café de l'Echo, dans le quartier du Douet.
des professeurs sont engagés et la fanfare devient Harmonie avec l'arrivée de nouveaux instruments, flûtes, clarinettes et saxophones ; le groupe est dirigé par un chef amateur issu de la société locale
l'Echo est la deuxième société musicale du département, après la Philharmonie de Nantes.
L'echo est à l'origine de la création de l'Ecole Municipale de Musique de Saint-Sébastien-sur-Loire.
Le premier chef d'orchestre professionnel est engagé, il s'agit de Philippe MESLET, tromboniste.
Francis VANTOMME, clarinettiste professionnel, arrive à la direction de l'harmonie et y reste jusqu'a ce jour.
L'orchestre d'harmonie de la Haye-Fouassière : la Ste-Cécile et l'Echo de Saint-Sébastien s'associent pour créer un ensemble plus important de musiciens afin d'assurer la survie des deux orchestres
Le nom OH-N149 est choisi pour représenter l'orchestre. la signification du nom vient de l'acronyme OH pour "Orchestre d'Harmonie" couplé au code N149 faisant référence à la route nationale qui sépare les deux communes de la Haye-Fouassière et Saint-Sébastien-sur-Loire.